Une mauvaise qualité de l'air intérieur* peut diminuer la rapidité d'exécution d'une tâche, et augmenter le risque d'erreurs pendant le travail.
Des études sur la qualité de l’air intérieur dans les bureaux ont permis d’identifier son effet sur la performance des employés. Des études ont montré que l’augmentation de la pollution de l’air provenant des émissions des matériaux de construction, du mobilier et des équipements de bureau amènent les utilisateurs à expirer moins de CO2.
Ce qui implique deux choses :
- Cela doit être une conséquence de la baisse du métabolisme en raison de la motivation réduite pour effectuer des travaux dans l'air pollué.
- Ou une conséquence de changements physiologiques menant à l'échange de gaz inefficace dans les poumons lorsque l'air pollué est respiré, ce qui entraîne une plus forte concentration de dioxyde de carbone dans le sang. Ce dernier mécanisme est connu pour causer des maux de tête et des difficultés à penser clairement.
Un certain nombre d'études ont montré que la qualité de l'air au bureau a un effet sur la performance au travail. Une étude a combiné les résultats de différents travaux et a montré que la performance dans l’exécution des tâches au bureau augmente avec la proportion de personnes satisfaites de la qualité de l'air (en entrant dans un espace):
une réduction de 10% du pourcentage d’insatisfaits de la qualité de l'air correspond à une augmentation d'environ 1% de la performance
Solutions acoustiques pour les bureaux
*soit due aux émissions provenant par exemple des produits de construction ou en raison d’une faible ventilation